Baptiste Brylak

J’ai eu la chance et la joie de croiser la route de Baptiste dans le cadre du travail qui, du coup, n’en était plus vraiment. Son rire et son sourire illuminaient TOUT ( la journée trop pleine et trop courte, la salle de mixage trop petite, le petit café ) et son rire et son sourire étaient aussi très, très, très communicatifs. Merci beaucoup Baptiste pour ces moments et ces souvenirs. J’adresse toutes mes condoléances à sa famille et à tous ses amis proches. Repose en paix, mon ami, avec un Gizmo à tes côtés.

Adieu, Baptiste Je ne fais pas partie de ton cercle d'amis le plus proche, mais on s'est quand même vu pas mal de fois en compagnie d'Olivier. Ta bonne humeur communicative et ta gentillesse vont terriblement nous manquer. Gizmo KK la mort !

Les mots me manquent. Ça fait 7ans presque jour pour jour que nous nous sommes rencontré à Paris est ludique, 7ans c'est beaucoup trop court. Tu étais ma culture cinéma pour le pire et le meilleur, le plus drole des MJs, le meilleur pour expliquer les règles du jeu (même quand j'ecoutais pas). Tu rigolais à toutes mes vannes pourries que personne ne comprend jamais. On passait des soirées entières à regarder des vidéos de madame récrée et autre horreurs youtubesque avec Chris et So, jusqu'au petit matin souvent. Et puis on s'est pas assez vu ces 2 dernières années. Ce que j'aurais aimé que tu vois notre maison ... Putain de SEP ! Je suis pas très douée pour écrire tous ces trucs. Tu serais devant moi j'aurais surement fait une grimace. Aujourd'hui je pleure et c'est ta voix que j'entends me dire "ba alors Chouchou". Au revoir Baptiste Brylak

Tous ces merveilleux hommages reflètent bien le Baptiste que j’ai connu. Ta passion pour les jeux était communicative et tu l’as partagée avec beaucoup de patience avec la débutante que j’étais. Je me souviendrai toujours de ces parties de loup-garou, très joyeuses, certains soirs d’été en Drôme-Ardèche. Toutes mes pensées vont vers les tiens. Affectueusement.

Je n’ai pu profité de ton sourire, ton humour, de eta bonne humeur et de ton esprit que le temps d’une soirée… mais j’en garde une souvenir très fort! Mais ce sont les sourires et les yeux pétillants que je retrouvais dans les yeux de Flo et Séverine quand ils revenaient d’une soirée ou d’un week-end chez toi vont manquer très fort… comme aux autres. Ce dont je certaine c’est qu’en pensant et en parlant de toi ils les retrouveront sans difficulté et qu’où que tu soies tu continueras à les partager autant qu’à les provoquer ! Une étoile rieuse s’ajoute au ciel. Bon courage à tous. Très sincèrement Diane

Je suis bouleversée par cette tragédie. Annie on t'a enlevé une partie de toi, les mots ne seront jamais assez fort pour exprimer la terrible épreuve que tu traverses. Je suis là si tu as besoin. Reçois toute mon énergie pour continuer ton chemin malgré tout. Je te présente mes sincères condoléances ainsi qu'à ta famille. Je t'embrasse bien fort.

Aucun mot ne peut te, soulager de ta détresse , aussi reçois toutes mes pensées les plus affectueuses. Christian. M.

Le 28 juin, en 2014, c’était le jour de notre mariage avec Aurélie. Tu n’avais pas pu venir mais tu m’avais tenu compagnie pendant plusieurs heures par message pendant que la mariée se préparait. On avait refait « La Classe Américaine » par le menu en citation et ça m’avait bien détendu avant la cérémonie. Tu n’étais pas là physiquement mais c’était tout comme. Cependant ce 28 juin 2022 tu me laisse sans voix, sans rire et avec que des larmes. On devait venir vous voir dans votre nouvelle maison et regarder plein de films sur ton nouveau projecteur ; Batman Returns, mais aussi Batman & Robin. Parce qu’on balance toujours un chef d’œuvre par un nanar chez toi. Notre visite toujours remise à la prochaine fois pour reprendre nos conversations là où on les avait laissées la dernière fois. Comme on faisait lors de nos 3 années d’ESRA à Nice où pendant 3 ans tu m’as laissé squatter chez toi. 3 ans à partager des repas, des films, des comédies musicales, des drama avec les autres élèves. Nos délires sur Oingo Boingo et leur fameux concert d’Haloween dont t’avait choppé la VHS aux USA en commandant par le net ! La ressortie des Star Wars au cinéma, l’intégrule, les Monthy Pythons, puis notre vénération pour John Williams, Jerry « Dieu vivant » Goldsmith, la BO d’Aliens qu’on écoutait dans le noir, le grand Danny aussi bien sûr. Mais aussi les centaines d’écoutes du Rocky Horror, Hair. Ces années où on a découvert ensemble Internet et tout ce que cela pouvait nous offrir, du drôle au bizarre, à l’abscons et à l’obscure. Avoir eu le plaisir de te voir composer tes musiques sur Cubase aussi. Et d’autres millions de choses impossibles à lister. Tout ça, sans jamais s’être pris la tête une seule fois ! Une gageure. On s était retrouvé au premier jour de l’ESRA après s’être perdu de vu pendant nos années de lycée et on avait réappris à se connaitre. Notre première rencontre c’était au collège, quand toi, le gamin pas du coin, facile à embêter, tu t’es pointé dans la cours de récréation avec un Mad Movies. Je me suis approché de toi : « Ah toi aussi tu lis Mad ? ». Ca avait commencé comme ça… Après l’ESRA, ponctuellement, on se retrouvait pour partager des bon moments et des moments bizarre comme quand on s’est retrouvé face à Michael Jackson (!) et sa horde de fans sortie de nulle part quand tu travaillais à la FNAC de Monaco ou partagé un concert hommage à Jerry Goldsmith. Des moments qui marquent ! Puis tu étais parti à Paris, pour aller mieux, pour rencontrer en vrai les gars de cette équipe de Mad avec qui tu avait tant échangé en ligne et parmi qui tu avais trouvé ta place et fini par en devenir LA voix ! Ca me permettais de t’entendre et généralement je t’envoyai un message pour te féliciter comme quand tu as fait la narration de la pub pour un centre commercial qui allait ouvrir près de chez moi ! Il y a encore deux semaines tu me souhaitais mon anniversaire et je t’ai envoyé les photos que j’avais prise quelques semaines avant de l’immeuble où on habitait pendant nos années d’ESRA et tu m’as dit que « on n’était pas si mal à l’époque » et je t’ai répondu que « je n’échangerai pas là ou on en est maintenant. ». « Ah bah non mais c’était plein de bons souvenirs quand même ». – « En partie oui » et on est tombés d’accord quand tu as dit : « Rien que nos fou rire, je ne les changerais pas ». Clairement, tu avais clairement raison… Je t’ai ensuite envoyé une photo de notre famille, tu nous as trouvé beaux et envoyé un cœur… ton cœur, celui-là même qui était si grand. Si je dois retenir qu’une chose de tout ça c’est que je découvre avec émerveillement le nombre de gens qui on pu recevoir comme moi ton amour, ton amitié, ta fraternité. C’est tellement rare dans la vie d’une personne de rencontrer quelqu’un comme toi, je suis content que toutes ces personnes ont pu vivre avec toi ce que j’ai vécu avec toi. Te dire que tu me manques déjà tellement, mais te dire aussi que tu ne quitteras jamais mes pensées. Ton érudition, ton écoute, tes jugement arrêtés, tes découvertes incroyable. Je me dirai toujours « tiens il faut que je le dise à Baptiste… », mais je ne trouverai pas le temps de t’appeler ni de t’écrire, je te le dirai quand on se verra, la prochaine fois. Mon Baptiston, ma coui**e, mon Franny à moi… Ton poulet, ton petit panda des îles… Annie, je pense tellement fort à toi. Baptiste aura eu la chance d’avoir, la plus aimante, la plus dévouée des mamans envers un fils. Tous les sacrifices que tu as fait pour le rendre heureux, tout les moments que vous avez partagé. Tu connaissais tous ses amis, tu partageais tous ses sujets de prédilection. Tu as toujours accepté ses amis et ses choix sans les juger et en lui apportant toujours ton indéfectible soutiens. Tu as toujours été à ses côtés, à chaque instants, les compliqués et les bons. Tout l’amour qu’il avait pour toi et tout l’amour que tu as pour lui. Dès que possible, on va venir te rendre visite. Tu es pour nous aussi une maman et une amie chère. On t’aime.