Gilles Bérard

Bonjour Tata Éva, Martine et toute la famille J'ai appris par Éva le décès de Gilles et n'ayant plus aucune adresse postale ni électronique de personne je ne pouvais écrire... c'est en cherchant l'adresse de Tata Éva que je trouve ce site où l'on peut envoyer un mot en hommage. Je n'ai que des souvenirs très très lointains d'enfance mais en lisant tous vos mots je vois combien Gilles était heureux et entouré. Je vous adresse toutes mes tendres pensées en espérant avoir l'occasion de vous revoir un jour. Sylvie, fille de Jean et cousine de Gilles, Christine, Céline et Dominique

Tu es beau mon homme....Ta Dulcinée à toi

Gilles, mon frère bien-aimé, tu nous quittes aujourd'hui, et mon chagrin est immense. Reste nos souvenirs. Notre jeunesse toujours complices, rythmée par la promenade des chiens sur les quais, les descentes à la cave pour le charbon où tu me rassurais même si tu avais aussi peur que moi, nos éternels fous rires, tu étais tellement joyeux. Nos étés à Nailly et aux Salines, là emprunt de liberté, tu profitais de tout ce que tu appréciais, la nature, les animaux que tu as toujours aimé, la pêche la baignade. Notre adolescence rebelle, mouvementée. Même si tu as pris quelques chemins de traverse, tu nous a retrouvé. Passionné de la vie, attentionné toujours soucieux de maman. Tu aimais nos réunions de famille, bien manger, rire, plaisanter, jouer aux cartes. A l'automne de ta vie, tu as trouvé un équilibre avec Martine, une sérénité bien méritée. Avec son soutien. tu t'es battu contre la maladie avec beaucoup de courage. Je te garde dans mon cœur et dans mes pensées. Ta sœur qui t'aime

Gilles, mon grand frère adoré, tu resteras pour moi l'aventurier audacieux, intrépide, loyal et courageux de mon enfance. Le beau petit mec toujours pressé de la rue du haut pavé comme le décrit une de mes amies. Pensez à toi, c'est déclencher la boîte à souvenirs et surtout au bons souvenirs, ceux qui font chaud au cœur et à l'âme, mais qui rendent la séparation douloureuse. Adieu Gilles

Mon fils bien-aimé, tu as été le garçon que j'ai désiré, viril et courageux. Je ne peux pas imaginer que plus jamais, je ne te verrai entrer dans la cuisine, en me disant "salut ma petite maman, comment vas-tu". Je t'aime

LE TEMPS DU BONHEUR AUX SALINES. JE T AIME MON HOMME

Mon ami, mon Gilles. On vient de se retrouver dans cette si jolie campagne que nous chérissions tous les deux. Notre Nailly, notre Ru, nos Crayolots, notre Chamognots, notre Château, et toutes ses belles balades que nous avons faits tous les deux pendant toutes ses années de bonheur dans notre campagne. Ton Dogo