Marie-Louise Fort

La Congrégation des Soeurs de la Charité de Nevers adresse à Monsieur Fort ainsi qu'à toute sa famille ses sincères condoléances et les assure de leur prière près de Sainte Bernadette à Nevers en ce temps d'épreuve que vous traversez. Nous faisons mémoire du travail fructueux avec madame Fort dans les travaux de réhabilitation de la l'EHPAD Notre Dame de la Providence.

Docteur FORT, Enfants et petits enfant, et toute la famille, Recevez mes sincères condoléances et toute ma compassion en ces moments douloureux. Bien Cordialement Monique Landureau (Abpr-Bdo)

A Monsieur Dominique Fort, ses enfants et petits enfants, Après le"choc" ,par delà les condoleances, les discours officiels et les hommages lors de la ceremonie à la Cathedrale, s'il me reste une image et un instant partagés avec Vous, c'est un dimanche après-midi où nous nous étions rencontrés, Vous, "Marie-Louise", mon epouse et moi-même sur les bords de l'Yonne et pendant lequel nous avions parlé de Toulouse, du Caousou et de vos brillantes petites filles qui, ce matin, donnaient le bras à leur grand-père à la cathédrale. Même si "Marie-Louise" n'est plus physiquemant presente, je suis sûr que par son exemple de vie elle vous auura donné la force de surmonter cette epreuve et d'être fidèles à son ethique de vie. Avec toute ma sympathie et mon empathie, Pierre M. Dejean et Monique Dejean qui se joint à moi

Je me souviendrai toujours où j'étais lorsque j'ai su que j'allais avoir l'honneur de travailler à vos côtés, et je me souviendrai toujours de l'endroit où j'étais lorsque j'ai appris votre disparition. Deux endroits, deux émotions. On me répétait souvent avant que j'arrive " attention, elle a vraiment un mauvais caractère ! " mais je répondais que moi aussi ! S'en sont suivies des taquineries, beaucoup. Du travail, beaucoup. De l'exigence, beaucoup. Mais qui nous poussait toujours, tous, à donner le meilleur de nous-mêmes. Du respect, beaucoup. De l'admiration, beaucoup. Autour de vous, grâce à vous, j'ai eu la chance de faire de belles rencontres. Des agents ou des élus, qui désormais font partie de ma vie et qui l'enrichissent. Tout cela, ça n'a pas disparu. C'est en quelque sorte un héritage... Aujourd'hui je pense, entre autre, à " Boubou" qui n'aura pas la chance de grandir à vos côtés, mais qui saura la maman, la grand-mère aimante que vous étiez. Je pense à vos enfants et à leur douleur. Je pense à votre époux, qui encore ce matin, a réussi à nous faire sourire malgré son chagrin. Ses petits mots toujours empreints de sagesse. Employer le passé est difficile. On s'était dit à lundi, mais, encore une fois, vous avez été imprévisible... Continuez à veiller sur tous les êtres qui vous sont chers de là haut. Au revoir Madame Fort. Laetitia.